Radical Choregraphic Object

RCO est une performance chorégraphique relationnelle, à échelle variable, dans laquelle le déroulé évolue entièrement en fonction du comportement corporel du public ainsi que de leur participation aux invitations des performeurs et aux consignes envoyées sur leurs téléphones portables.

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Présentation

RCO est une performance chorégraphique relationnelle, à échelle variable, dans laquelle le déroulé évolue entièrement en fonction du comportement corporel du public ainsi que de leur participation aux invitations des performeurs et aux consignes envoyées sur leurs téléphones portables. Le public, à désir, active des règles qu’il découvre au fur et à mesure.

La volonté des créateurs est d’interroger la place active que les êtres humains peuvent prendre dans l’acte créatif et l’appréhension enrichie de leur propre manière de se mouvoir, dans l’espace public.

L’oeuvre proposée travaille l’idée de comment une histoire collective émerge à partir du narratif individuel. Nous composons la relation du performeur au public, du public au public et du public au mobile. Nous interrogeons la relation du public à son propre corps et à son téléphone portable, ce médium interactif du quotidien, omniprésent, ubiquitaire, addictif, voire même répressif.

Informations

[Chorégraphie] Sarah Fdili Alaoui, enseignante-chercheuse au Laboratoire de Recherche en Informatique -LRI (Université Paris-Saclay, CNRS) et Jean Marc Matos (Cie K Danse)

[Performeurs] (Cie K. Danse) Ambre Cazier, Izaskun Insausti, David Mazon, Mario Garcia Saez
[Artiste associé et développeurs] Arnaud Courcelle
[Oeil extérieur] Marianne Masson

[étudiants membres associés] Jean-Philippe Rivière, Mai Ciolfli, Doctorante (INRIA, LRI)

[Avec le soutien de]
Laboratoire de Recherche en Informatique, équipe INRIA ex(situ,
Centre Culturel Bellegarde,
La Place de la Danse CDCN de Toulouse / Occitanie,
service culturel de Villeneuve-Tolosane,
Studio La Vannerie,
Théâtre Le Ring (Toulouse),
Ville de Toulouse,
Conseil régional Occitanie,
Conseil départemental de la Haute-Garonne.

Ce projet a été soutenu par le dispositif sciences-société de la Diagonale Paris-Saclay.

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